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Avis aux « anciens » partenariats,
comme vous pouvez le constater, le forum à subit un changement assez majeur. De ce fait -et pour faire totalement peau neuve- nous avons supprimé tout partenaires. normalement nous avons fait le tour des po-potes (ou alors ça ne saurait tarder), mais supprimez-nous quand même de votre liste, ça évitera de fausser ; de toute façon nous passerons vous voir.~ merci à tous et très bonne continuation à vous tous keur sur vous.
Cupid Human et ses post vacants,
Vous n'arrivez pas à vous décidez qui interpréter dans ce forum? Eh bien ils se trouvent que des membres débordant d'imagination vous on créés des scénarios digne de ce nom ; vous les trouverez ici. Pas mal de choses négociables pouvant s'adapter à vos besoins, venez y déposer vos envies et vos contraintes!En revanche, pour un côté un peu plus « stricte » voici des post vacants -momentanément fermé- ici à peine créés et demandent déjà à être adoptés! Venez jouer ces personnages tant attendus et si jamais quelques choses vous turlupines partez écrire un mp aux membres du staff!
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 if i can't handle it

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Kondô Arata
le blaze : nolee
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Kondô Arata
青銅 bad karma | the loosers
Identifiant du sujet   Mar 20 Oct - 22:12
— tenue. Ϟ La buée provoquée par la douche suivit le mouvement de l'air lorsque la porte s'ouvrit sous mon geste. D'un mouvement frénétique, je m'essuyais les cheveux et balança ensuite la serviette sur le canapé. Ma marche nonchalante m'amena à la chambre où je pris mes affaires, déjà soigneusement préparées sur le lit. Tout en me préparant je jeta un regard sur l'heure et me confirma ainsi que j'avais le temps de doucement me préparer. Ce soir, et comme tous les soirs, je devais aller chercher Kaze, mon compagnon à son travail. Et cela n'était pas une si mince affaire qu'elle ne devrait paraitre. Déjà, je devais éviter de zieuter ses collègues pour soulager ma colère. Trouvant leurs regards beaucoup trop lourd sur la silhouette libidineuse de mon petit-ami, je devais réussir à me contrôler. Mais rien n'y faisait ; j'étais possessif, jaloux et cerise sur le gâteau peu sûr de sa fidélité. Car oui, bien qu'il me prouvait sa gratitude et son amour par des gestes élégants et imbibé de crédibilité, je ne pouvais pas me dire qu'il était totalement avec moi.

Contournant le lit, j'étendis ma main jusqu'au chevet et attrapa mes médicaments dans le tiroir. Pourquoi j'avais ressentit ? Pour dire vrai, je ne le savais pas. En tout cas, pas avant que je remarque sa bonté... Pour les autres. Kaze fait partie de ceux qui se font bouffer et pas de ceux qui se nourrissent des autres. J'avais beau l'endurcir, il continuait sur cette ligne seulement pour deux jours. Haussant les épaules, je me retourna pour sortir de la pièce et fermer derrière moi. Ne supportant plus le ton enfantin de Kaze par moment, je m'habituais à fermer la porte de la chambre, m'enfermant à l'intérieur. Depuis, ce geste était devenue une sale habitude.

Dans un long soupir, je pris mes clés de voiture et saisi la télécommande. Au même moment où j'allais éteindre la télévision résonnant dans le salon, j'entendis un autre bruit. Une mélodie... Une sonnerie. Instinctivement, je tâtonna mes vêtements. Non, ce n'était pas mon téléphone. Celui de Kaze? J'arquais un sourcil en même temps où je marchais vers ledit bruit. Pourtant il ne l'oubliait jamais. Signe aussi très suspicieux, par ailleurs. Me penchant, me vautrant, me mettant sur la pointe des pieds pour mieux passer mon bras sur les étagères, je ne trouvais pas l'objet retentissant.

Sous une voix, je tourna la tête et réfléchi tout de suite où Kaze avait la manie de le planquer. Je me rue sur la table basse et m'accroupis pour tirer le tiroir. Son téléphone. Et comme appel entrant ; un nom d'homme avec pleins émoji dessus... Ma colère monta, elle monta tellement rapidement que je ne sentis pas tout de suite mes ongles griffer le bois de la table. En me redressant, je pris vigoureusement l'objet de mes tourments et me retint de le balancer à l'autre bout de la pièce.

Au lieu de cette fin si tragique -pour Kaze, pas pour moi-, je plongea le téléphone dans la poche de mon jean, me chaussa et sortit en claquant violemment la porte d'entrée. Les mains dans les poches de ma veste, je rentra rapidement dans ma voiture et démarra vivement.

(...) Arrivé. La voiture immobilisée sur le parking du restaurant, les mains pendant entre mes jambes légèrement écartées, les bras appuyées dessus. Le regard dans le vide, je réfléchissais. Saturer. Je commençais à saturer. Mes violentes pulsions ne s'évaporaient guère, j'étais comme envoûté par des idées toutes aussi ahurissantes les unes des autres. Puis, je m'étais rappelé que j'avais toujours en ma possession son téléphone. Ma main partit à sa recherche. Quatre message, deux appels manqués et une notification facebook. Ce gars le cherchait comme un connard en rûte.

Mes phalanges serraient de plus en plus le téléphone. Un peu plus et j'allais réduire en miette ce pauvre utilitaire. Soudain et sans aucun indice de la suite, je rangea le téléphone et dans un même mouvement de violence laissa ma main appuyée sur le klaxon.

Kaze sortit quelques minutes plus tard. Quelques minutes de trop. Je ne le regardais pas, mon regard n'ayant pas bougé d'objectif. Il monta dans la voiture et je me tourna vers lui, lui lança un regard assassin. t'en met du temps. tu sais très bien que je viens te chercher à 23 heures, pourquoi t'arrêtes pas de prendre du temps à chaque fois?! si j'étais garé en double file crois moi que t'aurais payé l'amande de tes pourboires mon vieux. Pas de bonjour, pas de bisous non rien. Est-ce qu'il le méritait vraiment, après tout? Mon soupir n'avait pas quitté ce trait énervé de mon humeur. Les mains sur le volant, je m'énervais, marmonnais dans entre mes dents entre les milles injures que les voix me narguait à la gueule.

Arrivant au pied de l'appartement, je me parqua et sortit comme si j'avais été assis sur un siège éjectable. Je claquais la porte mais attendit Kaze pour qu'il marche devant moi. Me retenant de ne pas l'attraper pour avoir des explications, je le laissa tout de même respirer et le suivit de très près. Lorsque je claqua la porte d'entrée, mon corps ne bougeait guère alors que mes yeux si ; ils traçaient les pas de Kaze. Le sourcil arquait, j'arborais un regard inquisiteur et marcha d'une façon féline jusqu'à l'embrasure du salon. Ma main vint se fondre dans la poche de ma poche et je sortis le téléphone en le levant pour être plus visible. c'est ça que tu cherches? Kaze se retourna et je me mis à sourire sournoisement. voilà pourquoi tu le cache sans arrêt. c'est dingue j'pensais que c'était même maladif de l'emmener n'importe où t'allais. Je claqua ma langue contre mon palais et rangea le téléphone dans la poche arrière de mon jean en m'avançant dangereusement vers lui.

Mes mains tremblaient, je ne savais pas ce que j'avais mais j'étais en ébullition. Peut-être était-ce parce qu'on avançait à grand pas des deux ans ensemble ou bien cet hamburger du midi qui passait pas mais j'étais énervé, furax et surtout très frustré qu'un autre homme ait les mérites de Kaze, mon Kaze. Rien n'était encore prouvé mais... j'attendais qu'il me dise que non.

Je le regardais, essayant de capter le moindre détails de son visage. kaze... dis moi que j'me trompe s'il te plait. j'veux pas te perdre ma voix tremblait, je tomba à genoux devant lui et le prit dans mes bras. Sans un mot, je resserrais l'étreinte. Je n'avais pas envie de le perdre ni d’ériger un fossé entre nous.
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Hayashi Kaze
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Hayashi Kaze
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Identifiant du sujet   Ven 23 Oct - 3:34

   

if I can't handle it

The couple

 
«Hayashi, la commande est prête », « La #5 », «Hayashi, tu peux prendre la 6, tu me sauverais » Des chiffres, des plats, c'est tellement facile de travailler dans ce restaurant. Je me connais en cuisine, alors c'est des termes qui m'est aisément de comprendre. Pas besoin pour moi de demander une explication et je suis même un as des recommandation. D'ailleurs, c'est pour ce côté que les gens m'aiment bien, parce que sinon je passe pour le dernier des crétins, dommage pour moi.

Outre cela, ce soir, ce n'est réellement pas le mien. Un rien me rend nerveux, j'ai l'impression que rien ne va. J'essaie de mettre le doigt sur ce qui me rend ainsi, mais cela fait plusieurs heures et je n'ai toujours pas trouvé. Alors que je suis en pause, je me rends dans la petite salle des employés et commence à discuter tranquillement. Puis voilà que la petite boule d'énergie sur patte arrive dans la salle en trompe, la boule c'est mon collègue quoi, et il me lance un : « T'es pas marrant Kaze, ça fait un moment que j'essaie de te rejoindre, des heures même ! »

Je me fige un moment et le regarde, me rejoindre, ce mec essaie de me rejoindre ? « Comment tu veux me "rejoindre", si je ne t'ai pas donné mon numéro. » Je m'y connais peut-être pas énormément en technologie, mais j'ai compris le principe du téléphone au moins. Il me rétorque le plus naturellement possible : « Bah ouais tu m'as, je me suis rajouté dans tes contacts baby » Sur le coup, je reste sur le choc, il a osé s'ajouter alors que je n'aime pas sa compagnie, normalement on ajoute ceux qu'on aime bien, non? Je soupire et souris, avant de dire : « Désolé, mon téléphone est fermé »

Après avoir dit ça, je mets la main dans la poche de mon pantalon et me rend compte que je n'ai pas ledit téléphone. Ce qui me rend quelque peu nerveux, est-ce que je l'ai perdu ou est-ce que je l'ai laissé dans notre appartement ?

Alors que je continue à travailler, j'accumule quelques gaffes, du à mon inattention trop préoccupé à me rappeler ce que j'ai fait du téléphone, je n'aime pas le laisser à la maison, bien que je t'adore Arata, parfois tu es un vrai fouineur et tu ne comprends pas toujours correctement ce que j'écris...

[...] « Hayashi ! Vient me voir dans mon bureau. » Je fige, je n'aime pas ça, une fois arrivé devant son bureau, je cogne doucement à la porte et attend d'avoir l'autorisation d'entrée, ce que je fais dès que je l'ai. Je suis assis dans son bureau et la première chose qu'il me dit ce sont des reproches sur mon manque d'attention et surtout mes gaffes. Je n'aime pas, ça mais comme j'ai l'habitude, je secoue la tête en signe d'approbation.

Une fois qu'il me laisse partir, j'entends un collègue me dire que mon chauffeur est là, je regarde l'heure sur l'horloge et presse le pas, je suis en retard... Je sors du restaurant, et je rentre dans la voiture à peine assis que tu hausses le ton sur moi, ce qui m'agresse mais j'ai l'habitude, c'est parce que j'ai fait quelque chose qui t'as irrité, plus que d'ordinaire par contre.

Le retour fut dérangeant, je ne savais pas trop comment t'aborder. Une fois arrivé, je sortis de la voiture et poussa un petit soupire qui ne dura pas très longtemps. Tu semblais un peu trop collant pour le moment et ton humeur ne semblait pas avoir changer ce qui était inquiétant. Une fois dans l'appartement, je me dirige tranquillement vers la chambre, jusqu'au temps que tu m'arrêtes. En me retournant vers toi, je vois mon portable dans tes mains, je hoche la tête à ta question et tu enchaines.

« Non ce n'est pas ça. On m'a expliqué que je devais toujours l'avoir sur moi. Comment tu voudrais me rejoindre si je ne l'ai pas. » Je dis cela en te voyant t'approcher de moi. Je fis les quelques pas manquant, même si ton humeur n'allait pas en s'arrangeant.

Je déposa mes bras sur tes épaules pour mieux me coller à toi, mais tu te laissas tombé à genoux avant. « Je ne sais pas exactement à quoi tu penses, mais je peux t'assurer que ça ne vaut pas cette colère. » Je passa mes mains dans tes cheveux pour t'apaiser, te câliner, j'adorais cela.

« Qu'est-ce que tu as imaginé mon beau Arata ? » Je me laissa glissé le long de ton corps pour que notre étreint soit moins inconfortable pour moi. Je t'embrassa la joue pour me faire pardonner de t'avoir fait des frayeurs. « Pardonne moi. Est-ce que tu veux bien faire ça ? Je t'aime tu sais. » Certes je ne peux pas oublier Kenji, mais toi, tu es là pour moi plus que lui à l'heure actuelle et les autres jours à venir il semblerait. Arata, que serais-je sans toi ?


   

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Kondô Arata
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Kondô Arata
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Identifiant du sujet   Sam 24 Oct - 17:21
Ses doigts fins dans mes cheveux en pagaille. Ses paroles et ses défenses. Son baiser et sa déclaration. Chamboulé. J'étais chamboulé. D'un côté on me disait de ne pas aller dans son sens mais de l'autre, je me tordais de douleur de devoir le résister encore. Alors lentement ma main décida pour moi et vint se poser à sa taille. Insciemment et par la force fragile, mon bras le rapprocha de mon torse. Ainsi, mon nez se perdit dans sa nuque où je huma sa fragrance enchanteresse. Ma main cajola son dos, mon index appuyait de temps à autre à l'échine pour le cambrait beaucoup plus vers moi. Égoïste que j'étais je ne laisserais pas prendre son envole de si tôt.

Mes lèvres remontèrent de son cou à son oreille et je lui susurra ses quelques mots. tu ne me trompera jamais, n'est-ce pas? Tu n'oserais, tu ne voudrais pas... Sinon je te le ferais payer de toutes les manières possible. Subitement, je le poussa de moi pour le faire tomber sur le tapis, moi le surplombant. Mes yeux s'enfoncèrent dans les siens. Je cherchais la vérité dans son regard.

Ne s'attardant plus quant à sa vérité et non la mienne, je fondis sur lui. Le corps lourd, je le sentis lutter mais je ne voulais plus me séparer de lui. Mes yeux étaient entrouverts, j'étais serein. Peut-être était-ce un peu trop pour l'ambiance mais je l'étais car Kaze m'avait avoué m'aimer. Rien que cela venait de réchauffer mon corps si froid par ce satané téléphone. ne cherche pas ton téléphone. il est quand même confisqué. Je souriais. Je le tenais. Il m'étais vulnérable et je le savais.

Puis je décida enfin de le laisser respirer pour rouler et m'allonger à côté de lui, les yeux sur le plafond. mais c'est qui ce gars, kaze? qu'est-ce qu'il te veut et pourquoi il a ton numéro? le donnait-il à qui bon voulait? Fallait-il que je m'attarde au profil de tous les employés du restaurant y compris son patron? J'arquais un sourcil, suspicieux. Je soupirais enfin et ferma les yeux. tu as intérêt à tout ce que tu dis soit vrai sinon ça ne vaut rien. bien qu'il sache mes états d'âmes, je l'avertissais encore et encore. En jouais? Non. Cela était devenu une habitude et j'avais besoin de lui, besoin de ses mots et qu'il me prouve que j'étais l'unique.
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Hayashi Kaze
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Identifiant du sujet   Dim 1 Nov - 0:39

   

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Il semblerait que ma façon de t'aborder soit encore la bonne, te sentir me rapprocher de toi fut soulageant. Je laissa un certain soupire d'aise lorsque je sentis ta respiration sur ma nuque. Je te laissai faire ce que tu voulais de moi, que tu décides de me rapprocher de toi, me donnait des envies qui pour le moment n'était pas forcément les meilleures. Mais avec toi, s'était tellement normal que je réagisse si vite à ton toucher.

J'étais en train de devenir une vraie poupée dans tes bras. Et pourtant, alors que je voulu prendre quelque secondes pour me détacher de toi pour que je puisse voir mon visage, tu me repoussas au sol, me coupant ainsi pendant un instant mon souffle. C'est ton regard dans le mien avec quelque difficulté pour moi, vu que ma vue était quelque peu voiler par ce que tu me faisais ressentir et donc ce fut d'une voix qui ne manquait pas de chaleur que je te répondis : « Je t'aime trop pour tout gâcher. » Je connaissais ses phrases, Kenji avait été pareil, je savais que si je disais ça, ça t'apaiserait le temps pour moi de comprendre ce que tu entendais par tromper, car oui j'ignorais la signification pour vous les hommes de ce mot qui semblait être tragique et dévastateur. Comme si je pouvais me tromper d'amoureux.

Lorsque tu me dis que tu me confisques mon téléphone, je laisse un sourire planer sur mes lèvres et fini par prononcer ses mots : « Cela n'a pas d'importance puisque tu es là. » Car qui voudrais-je contacter à cette heure tardive alors que je t'avais toi si près de moi.

Un froid me transperça le corps lorsque tu t'éloignas de moi, alors que tu me posas ta fabuleuse question qui ne pouvait pas réellement avoir de réponse dans l'immédiat, je me rapprocha de toi pour garder ta chaleur. « Je ne sais pas Arata, c'est toi qui a mon téléphone. » Puis je déposa un doigt devant ta bouche pour que tu ne me répliques pas immédiatement et poursuivit tranquillement. « Mais, c'est peut-être celui qui me colle au travail et qui m'a dit qu'il savait soi-disant rajouter sur mon téléphone. C'est possible d'ailleurs ? Mais, c'est toi la police, tu pourrais me protéger de cette personne » Dis-je tout sourire en terminant. « Tu sais, ce truc d'éloignement, que l'on peut faire contre une personne. »

Je me releva un peu, et fini par me mettre à califourchon sur toi. Je te regarda dans les yeux en me mordillant la lèvre, avait tant envie de toi. J'étais fatigué de parler de ce téléphone, de me prendre la tête avec toi ou même juste de penser à autre chose que tes mains sur moi ou que ta bouche sur la mienne. « J'ai envie de toi... » dis-je finalement en jouant avec mon piercing à la langue.

   

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Identifiant du sujet   Dim 1 Nov - 1:11
L'entendre répondre à mes questions de façon aussi rapide ne me faisait plus hausser le sourcil. Bien qu'elles paraissaient toutes prêtes, Kaze était comme ça et donc je n'avais plus à me préoccuper de ses réponses suspicieuses. Cependant, je le sentais se rapprocher de moi, on dirait qu'il quémandait autre chose en plus de mon attention. Ainsi je tourna la tête vers lui mais simplement quelques secondes car il ne tarda pas à se placer à califourchon sur moi, quoi... il voulait ? MAINTENANT ?! Je grommelais et le porta lorsque je me redressais. Nous marchâmes ainsi jusqu'à la chambre et l'assis tandis que je me juchais devant lui, les bras croisés. je sais pas kaze... je viens de me disputer avec toi on va pas non plus commencer à se sauter dessus à chaque fois que je hausse la voix. je le regardais, cherchant son approbation.

et puis en plus je suis fatigué. et c'était vrai. Ma journée de travail m'avait bien harassé comme ça! Entre faire du sur place et talonner dans toutes les rues de Rakuen, ma journée n'avait pas été de tout repos. Je savais que je n'étais pas à plaindre car Kaze faisait un métier plus physique que moi, mais ne pouvais guère m'empêcher de reconnaître ma fatigue.

Je baillais d'ailleurs et m'affala sur le lit, entraînant avec moi Kaze. Mon œil, celui qui n'était pas enfoncé dans le coussin, le fixa. Je souris et lui murmura déshabille-toi. avant d'ajouter avec subtilité on ne reste pas avec ces affaires de travail, tu le sais ça. tout sourire, je lui retirais sa veste, son haut et tira sur une jambe du pantalon pour laisser glisser. D'un geste lent et mou, je pris un t-shirt sur les affaires repassées et lui tendis avant de me tourner dos à lui.

kaze. pour le gars, promis j'en parle plus mais... tu me dirais si jamais tu couche avec d'autres, hm? tu sais que c'est mal? parfois je le prenais comme un gamin mais cela s'avérait justifié. De temps à autre il arrivait à Kaze de ne pas comprendre le but de mes mots tandis qu'il était tout à fait apte de comprendre le langage du corps... Je secouais vivement ma tête et me redressa vers lui, le regard noyé dans le sien.

oublions ça pour ce soir, d'accord? eh dire que j'allais mettre fin à tant de bonheur pour de simple mauvais dialogues. Je soupira et l'attrapa pour le bloquer contre moi. L'embrassant vivement, je glissais mes doigts dans ses cheveux.

Tout en me décalant par manque de souffle, je lui souriais en redessinnant les formes fines et crispées de ses traits. je veux t'entendre dire encore... que tu as envie de moi. j'étais fatigué oui, c'était un fait. Mais j'étais surtout tiraillé entre ses appels libidineux et mon lit... Kaze allait m'aider à choisir.
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