la paresse :  « une forme de dépression due au relâchement de l'ascèse ». Il s'agit en effet de paresse morale. L'acédie, c'est un mal de l'âme qui s'exprime par l'ennui.
que voulez vous. une femme n'est jamais satisfaite de ce qu'elle a. hé! ne me juge pas.

l'avarice : accumulation des richesses recherchées pour elles-mêmes
je ne partage ni mon savoir, ni mes biens et encore moins mon mari. je ne suppose pas que l'on touche à ce qui est à moi.

l'envie : la tristesse ressentie face à la possession par autrui d'un bien, et la volonté de se l'approprier par tout moyen et à tout prix (à ne pas confondre avec la Jalousie)
je ne suppose pas lorsque je ne suis pas le centre d'intérêt de mon époux, bien que se soit rarement le cas. je suis très possessive et serais même prête à mordre. - cela m'arrive même avec mon entourage. c'est grave ?

calculatrice - agréable : tout ce qu'elle entreprend à un but bien définit, quitte à sacrifier ou passer outre les points de vue d'autrui. elle analyse absolument toute les situations afin de tirer meilleur profit de chacune d'entre elles. malgré ce petit défaut, il n'empêche pas le fait qu'elle reste une femme tout à fait agréable, souriante et amusante.

hautaine - fausse : cela ne s'applique que lorsqu'elle se trouve au travail. pour tout avouer, elle n'aime pas le monde dans lequel elle appartient - la mode, le journalisme.
si tu n'es pas faux, tu te fais marcher dessus. si tu ne sais pas enjôler les autres - pas n'importe quel moyen, tu finis au fond du trou.
il y à souvent par ailleurs, quelques répercussions dans sa vie personnelle - quelle regrette souvent ; sauf lorsqu'elle rencontre quelqu'un, car cela lui sert quelque peu de "test".

charmante - aimante : un doux sourire lui permet d'acquérir tout ce qui lui chante. pas seulement avec son mari, mais avec tout autre. malgré qu'elle soit parfois peut agréable, au premiers abords, masaki est une femme qui déborde d'énergie et qui ne demande qu'à la dépenser. lorsqu'elle s'accroche à quelqu'un, bien que ce soit rare, la demoiselle ne se prive pas de gâtée la dite personne, avec tout, et n'importe quoi. elle est quelqu'un de confiance et ne traira jamais ; sauf pour de l'argent et que vous êtes un homme.

♠ C'est à Séoul qu'elle vit le jour pour la première fois. Le temps était à l'agréable et à la joie. Pour une mère seule dans une pièce blanche.
Elle n'a jamais connu son père et à toujours vécu seule avec la femme qui lui à donné vie. Dans une pauvreté certaine, Masaki était voué à l'échec. Volant pour survivre, mendiant pour paraître plus humaine, la demoiselle n'avait rien d'enviable.
Le soulagement de sa mère fut de pouvoir l'envoyer à l'école jusqu'à, presque, sa majorité. Mais elle du tout stopper pour prendre soin de cette dernière jusqu'à sa mort. Seule au milieu de la capitale coréenne, la mort était sa seule issue.
♣ Fort heureusement, elle avait eut quelques bons amis durant sa scolarité, qui en apprenant la nouvelle ne la laissèrent pas dehors. Grâce à eux, elle pu suivre quelques cours à l'aide des leurs et décrocha son diplôme. L'école de journalisme était à elle, lui tendant les bras. Suivant alors son meilleur ami dans le cursus, Masaki eut le privilège d'aborder certaine personne haut placées, bien sûr, elle n'était jamais seule.
C'est sur cette image qu'elle commença à prendre le goût aux choses qui lui étaient inaccessibles.
Afin de voir plus grand, afin de sortir de toute cette merde ; après avoir enchaîné nuit et jour de travail pour économie, la métis partit dans le pays d'origine de son père : le Japon.
♦ C'est lors d'une entrevue qu'elle fit la connaissance de son futur conjoint. Lui, militaire de carrière et grand homme pour son pays ; dans la marine américaine, muté dans le pays du soleil levant - presque vingt ans de carrière, elle en tomba amoureuse sans pourtant l'être. La première chose qu'elle imagina fut son compte bancaire. Ensuite seulement, elle s'intéressa au physique de ce dernier, à son caractère - aux défauts qui le bouffait et au qualités qui le faisait avancer.
Par tous les moyens, elle se rapprocha de lui. En premier lieu avec l'excuse que c'était pour approfondir son écrit ; pour des informations. Plus le temps passé et plus elle avait du mal à trouver de sujet qui pouvait le concerner sur lequel il pouvait l'éclairer.
Sans aucune gêne, la demoiselle lui fit comprendre qu'elle voulait tout simplement être proche de lui. Dans un sens plus ou moins personnel.
Elle ne fut pas accueillit par un refus. A son plus grand bonheur.
C'est à vingt et deux ans que Masaki eut la bague au doigts. Pas qu'il était pressé. Elle l'était.
Se fut un choque pour tous ses proches. Douze ans. Voilà ce qui séparé les deux concubins. Elle était bien jeune. Mais bien amoureuse.
C'est par cette nouvelle qu'elle eut le droit à quelques images. Qu'elle fut un tontiné connue grâce à son époux : elle montait les échelons. Lentement. Mais sûrement.
♥ C'est une femme qui voulait. Elle à tout eut. Le succès en tant que journaliste, en tant que patronne désormais d'un magazine connu et aussi, quelques peu en tant que mannequin. Cette branche ne l'avait pas satisfaite, alors elle quitta bien rapidement cette idée de sa tête.
Demeurant dans une luxueuse demeure, aujourd'hui âgée de vingt-huit ans - toujours mariée et comblée par l'argent de son époux et le siens, la demoiselle ne sait désormais plus se contenter de ce qu'elle a.
Par pur caprice, elle demanda à son mari de déménager dans cette nouvelle ville, pour cause : changer d'air. Elle avait rapidement obtenu l'accord de l'américain. Elle était une enfant à qui il lui cédait tout. Non pas pour avoir la paix. Mais bien par amour et fidélité. Elle ne le voit plus ainsi. Ou peu. Mais est très heureuse ainsi.
Rakuen. Voilà bien des semaines qu'elle y vit. Et pourtant son mari n'a encore jamais mis les pieds dans son nouvel appartement : son absence la tue depuis trop d'année. Mais que peut-il en faire ? C'était le risque du métier qu'était le siens. Mais tenir sa femme est aussi dur que de tenir une guerre dans un pays étranger.

ma vie est un jeu d'carte.

il n'est pas de la même origine que moi et pourtant - bien que j'avais admis détester les étrangers, je suis - comme pourrait le dire les pucelles " tomber sous le charme " de cet inconnu. viril et un peu brute de paume alors qu'il cachait tant de qualité, je me retrouve aujourd'hui mariée depuis presque six ans avec ce bonhomme. mais qui ne rêverait pas d'une vie aussi parfaite que la mienne !